Les marchés américains ont frôlé des sommets records, alors que les données sur l’emploi de vendredi alimentaient les attentes de réduction des taux, l’indice S&P 500 progressant de 0,96 % au cours de la semaine et l’indice canadien S&P/TSX de 0,17 %.
Les actions américaines ont progressé au cours d’une séance de négociation écourtée, et l’indice S&P 500 a gagné plus de 1 % pour une deuxième semaine consécutive, atteignant de nouveaux sommets records.
L’indice S&P 500 a perdu environ un tiers des gains réalisés après les élections, l’optimisme concernant la croissance des sociétés sous l’ère Trump s’étant estompé.
Dans l’ensemble, les marchés mondiaux ont terminé la semaine en baisse, l’indice S&P 500 ayant chuté de 0,96 %, sa première baisse hebdomadaire depuis le début du mois de septembre, tandis que le NASDAQ est parvenu à rester légèrement positif grâce à un gain de 0,16 %.
Les indices S&P 500, Nasdaq et TSX ont clôturé en légère hausse, soutenus par des données positives sur le marché du travail qui ont renforcé les attentes d’un atterrissage en douceur de l’économie.
Les indices S&P 500 et NASDAQ ont progressé d’environ 0,80 %, tandis que le TSX a augmenté de près de 1,5 %. L’action de Netflix a bondi de 11 %, marquant sa meilleure séance depuis janvier après l’annonce de plus de 5 millions de nouveaux abonnés au troisième trimestre.
L’indice S&P 500 a atteint son 39e record en 2024 et a grimpé de plus de 1 % cette semaine après la récente baisse d’un demi-point des taux d’intérêt de la Réserve fédérale.
Les actions américaines ont connu l’une de leurs meilleures semaines de l’année, les négociateurs ayant misé sur la prochaine réunion de la Réserve fédérale, au cours de laquelle une réduction des taux d’intérêt est largement attendue.
Les actions américaines ont connu leur pire semaine de l’année 2024, tirées à la baisse par le secteur des technologies et par les données sur l’emploi du mois d’août, qui ont montré un faible taux d’embauche.
Les actions nord-américaines ont terminé la semaine en baisse en dépit des plus récentes données économiques qui montrent que l’économie se porte bien.
Wall Street a fait l’objet de ventes massives cette semaine : le Nasdaq 100 a amorcé une correction (en baisse de 10 % par rapport à son sommet) et l’indice S&P 500 devrait connaître sa pire réaction aux données sur l’emploi en près de deux ans.
Les négociateurs de Wall Street sont optimistes quant à un atterrissage en douceur de la Réserve fédérale, ce qui a entraîné une remontée des segments plus risqués du marché.
L’indice S&P 500 a grimpé à environ 5 615 à la fin de la semaine, montrant des signes de reprise malgré le délestage provoqué par les titres technologiques à la séance de jeudi.
L’indice français CAC 40 a reculé d’environ 2,6 % vendredi, en voie d’enregistrer sa plus forte baisse hebdomadaire depuis mars 2022, ce qui a pesé sur l’indice Stoxx 50 plus large.
Les actions technologiques se sont effondrées, entraînant dans leur chute l’ensemble du marché et freinant la reprise mensuelle alimentée par l’espoir de réduction des taux d’intérêt par la Fed.
Les actions américaines ont grimpé à la suite de la publication de données démontrant que les consommateurs avaient modéré leurs attentes en matière d’inflation à la fin du mois de mai.
L’indice S&P 500 a clôturé à près de 5 225 points pour inscrire un troisième gain hebdomadaire consécutif, tandis que le Dow Jones avançait pour une huitième séance de suite.
La remontée des plus grandes sociétés technologiques au monde, en particulier Microsoft et Alphabet, a stimulé les actions et rassuré les investisseurs préoccupés par la conjoncture économique...
Les actions ont chuté à la fin d’une semaine au cours de laquelle l’indice S&P 500 a clôturé sous la barre des 5 000 points, après une remontée qui a propulsé l’indice de référence à des sommets historiques.
Vendredi, les actions ont légèrement reculé, mettant fin à la remontée de la semaine provoquée par l’engagement de la Réserve fédérale à réduire les taux d’intérêt cette année.
Les actions se sont repliées après une remontée des marchés ponctuée de nombreux records cette année, alors que les investisseurs soupesaient les données contrastées sur l’emploi.
Les marchés boursiers ont atteint de nouveaux sommets records cette semaine, les indices S&P 500 et NASDAQ ayant progressé de 1,66 % et de 1,40 % respectivement.
L’indice S&P 500 a atteint un sommet record et se dirige vers sa cinquième semaine consécutive de gains, attribuable à l’optimisme quant à un atterrissage en douceur et à l’engouement pour l’intelligence artificielle.
Les marchés boursiers ont clôturé la semaine en hausse, atteignant des sommets records en raison des rumeurs de baisse des taux par la Réserve fédérale.
Les marchés boursiers américains ont clôturé la semaine sur une séance mouvementée, mais l’indice S&P 500 a enregistré une hausse hebdomadaire de près de 2 % et est passé en territoire positif pour commencer l’année.
Les marchés boursiers mondiaux ont affiché une tendance positive cette semaine, et d’importants indices comme le S&P 500 (0,2 %) et le NASDAQ 100 (0,7 %) ont enregistré des gains.
Les actions ont rebondi alors que la volatilité des obligations du Trésor s’atténuait, et l’indice S&P 500 a franchi le seuil technique des 4 400 points pour terminer la semaine en hausse de 1,3 %, un sommet de sept semaines.
Le marché boursier américain a été volatil en raison des préoccupations géopolitiques, de la hausse des taux des obligations du Trésor et des craintes d’un relèvement des taux d’intérêt.
Le marché boursier américain a été volatil en raison des préoccupations géopolitiques, de la hausse des taux des obligations du Trésor et des craintes d’un relèvement des taux d’intérêt.
En réaction aux signes indiquant qu’Israël préparait une invasion terrestre de Gaza, les cours boursiers ont chuté, les investisseurs cherchant refuge dans des valeurs sûres.
Les titres technologiques à grande capitalisation, dont Microsoft, Apple et Nvidia, ont poussé les indices boursiers américains vers le haut, le S&P 500 progressant de 0,5 % et le Nasdaq, de 1,6 % au cours de la semaine.
L’indice S&P 500 a connu sa pire semaine en six mois, alors que les investisseurs mondiaux sont confrontés à la possibilité d’une période prolongée de taux d’intérêt élevés pour lutter contre l’inflation.
Le marché boursier américain a été plus volatil et s'est replié en raison de l’arrivée à échéance de 4 000 G$ d’options et des inquiétudes suscitées par une grève des constructeurs automobiles de Détroit.
Cette semaine, la hausse des prix du pétrole et les inquiétudes suscitées par la zone euro et le ralentissement économique en Chine ont fait chuter les actions.
Les actions américaines ont enregistré une hausse importante cette semaine, les données mensuelles sur l’emploi laissant supposer que la Réserve fédérale pourrait mettre fin à ses mesures de resserrement.
Les marchés boursiers ont grimpé, les négociateurs ayant analysé les commentaires des conférenciers de la Réserve fédérale (« Fed »), y compris la déclaration de Jerome Powell...
Les marchés boursiers ont subi un important repli, car les craintes d’une hausse des taux d’intérêt ont ébranlé la confiance, plombant les principaux indices vers leur plus forte perte hebdomadaire depuis mars.
Les mégacapitalisations technologiques ont subi de nouvelles baisses, et les marchés boursiers ont éprouvé des difficultés pendant que les taux obligataires montaient.
Vendredi, le NASDAQ a affiché un rendement légèrement positif, tentant de récupérer les pertes de la séance précédente après la publication de bénéfices décevants pour Tesla et Netflix, qui ont fait reculer l’indice de 0,57 % cette semaine.
La saison des bénéfices s’est amorcée avec la publication de résultats trimestriels positifs pour JP Morgan, Wells Fargo et Citigroup, qui ont tous profité de la hausse des taux d’intérêt...
L’indice S&P 500 n’a pas réussi à poursuivre sa remontée de deux jours, chutant sous le seuil critique de 4 200 points, mais terminant la semaine en hausse de 1,6 %.
Le marché boursier a été volatil, mais il n’a enregistré qu’une légère baisse par rapport à la semaine dernière, les investisseurs attendant impatiemment des signes...
Après quatre jours de recul, le marché boursier américain a rebondi vendredi lorsque les données sur l’emploi pour le mois d’avril ont montré qu’il s’était créé plus d’emplois que prévu...
Les actions américaines ont poursuivi leur remontée vendredi, l’indice S&P 500 ayant progressé de 0,8 % (0,9 % au cours de la semaine), en raison des bénéfices supérieurs aux attentes d’Exxon et d’Intel.
Les titres bancaires ont retenu l’attention encore cette semaine, la Deutsche Bank ayant annoncé le rachat anticipé d’une obligation subordonnée de type « tier 2 ».
Vendredi, le marché américain a cédé une partie de ses gains de la semaine, les grandes banques ayant imposé des restrictions sur les opérations avec Credit Suisse et First Republic...
Les indices S&P 500, NASDAQ et TSX ont clôturé la semaine en baisse d'environ 4,5 %, 4,7 % et 4 % respectivement, après que l'agitation provoquée par SVB Financial Group...
Le marché américain s’est redressé, après avoir connu des moments difficiles la semaine dernière, les investisseurs étant d'avis que la Fed ne relèvera pas...
Le marché américain a clôturé la semaine en baisse, les dirigeants de la Réserve fédérale ayant durci le ton en réponse aux données sur l’inflation plus élevées que prévu.
Les actions américaines ont récupéré une partie des pertes subies plus tôt cette semaine, alors que les sociétés technologiques ont été stimulées par les bénéfices positifs de Netflix, qui a enregistré une croissance plus forte que prévu de ses abonnés...
Le marché américain est resté vigoureux et a clôturé la semaine en hausse de 2,7 %, les données sur l’inflation inférieures aux attentes publiées vendredi provoquant un rebond des principales banques qui s’étaient d’abord repliées en matinée.
L’indice S&P 500 a terminé en territoire positif après plusieurs semaines consécutives de pertes, mais demeure dans la fourchette étroite observée depuis la mi-décembre.
Comme l’Argentine, qui s’est brillamment relevée après un piètre début de parcours à la Coupe du monde de la FIFA, les marchés se sont redressés en novembre après leur recul de la mi-octobre.
Après un bon début de semaine, l’indice S&P 500 a clôturé la semaine en baisse de 2,1 %, à la suite de la réaction négative du marché à la réunion du comité de politique monétaire.
Mercredi, l’indice S&P 500 a progressé de plus de 3 %, après que Jerome Powell a laissé entendre que les hausses de taux pourraient être plus modestes dès décembre.
Le discours prononcé vendredi par Jerome Powell lors de la réunion annuelle de la Réserve fédérale à Jackson Hole a mobilisé l'attention des investisseurs.
En juin, les marchés ont poursuivi leur reprise de 2021 alors que la vaccination s’est accélérée dans le monde et que la tendance quotidienne du nombre de cas de COVID-19 est demeurée à la baisse, particulièrement en Europe.
En mai, les marchés se sont consolidés et ont continué d’absorber la force de la reprise économique, le déclin mondial des cas de COVID-19 et le potentiel d’inflation.
À la suite des nouvelles économiques positives, les marchés boursiers mondiaux ont continué leur reprise en avril, et ce en dépit de la crainte croissante d’une nouvelle vague d’infections à la COVID-19.
Sous l’effet du résultat des élections américaines et des développements positifs concernant les vaccins, les actions ont franchi de nouveaux records en novembre.
À la suite de la plus forte chute dans un marché baissier de l’histoire, les actions ont rebondi brusquement au deuxième trimestre en raison des mesures ...
Certains efforts visant à ralentir la propagation de la COVID-19 se sont intensifiés la semaine dernière et le résultat sur l’activité économique est visible.